Le bénéfice de la libération conditionnelle est accordé aux détenus : Farah Kidar, Issa Fourlaba, condamné à la peine de 3 ans de prison, par jugement du tribunal militaire permanent de Djibouti, en date du 30 août 1945, pour « violation de consignes et avoir favorisé la désertion du tirailleur Ismaïl Herci »; Saleh Omar, Arabe Alaki, condamné à la peine de 6 mois de prison par arrêt du tribunal supérieur d’appel, en date du 16 décembre 1946, pour « recel ».